Grey Coverage : la vraie logique colorimétrique

Les cheveux blancs n’ont plus de pigment : ils accrochent moins la couleur et paraissent plus clairs.

Un Grey Coverage n’est donc pas “une simple coloration”, mais un travail qui reconstruit la matière pigmentaire pour retrouver une couleur cohérente.

1. La lecture de départ

Avant de colorer, on analyse :

• la base naturelle encore présente,

• le pourcentage de blancs,

• les zones les plus visibles.

C’est ce qui permet d’éviter un résultat trop chaud, trop clair ou trop compact.

2. Le Grey Coverage classique

On travaille surtout la racine pour remettre des pigments et uniformiser.

C’est net, efficace, idéal pour une repousse visible à couvrir.

3. Le Grey Coverage 3D

Le 3D, c’est la version plus naturelle :

• racines : couvrance calibrée pour les blancs,

• longueurs : patine/gloss plus léger,

• ensemble : plus de relief et de lumière, sans effet uniforme.

4. L’entretien

Selon la repousse et l’évolution de la couleur, on entretient avec :

• un service racine,

• une patine 3D,

• ou un gloss.

En résumé

Le Grey Coverage, qu’il soit classique ou 3D, repose sur une logique colorimétrique :

reconstruire le pigment, respecter le relief, garder une couleur vivante et harmonieuse.